• Dernières heures…et  quelques minutes seulement pour découvrir l’espace de la scène avant la représentation…
    C’est aujourd’hui que l’association PLATEAU 24 investit le théâtre Trévise pour son spectacle de fin d’année… l’effervescence ne se limitera pas à la scène ou la salle, chaque centimètre des couloirs peut se voir transformer en espace de répétition et je crois bien que sans cette agitation de coulisse, les spectacles m’enchanteraient moins.
    Je remettrais les derniers pantalons à celles qui n’étaient pas présentes pour la répétition de vendredi soir. Je suis heureuse que ce modèle leur ai plu car il me tient particulièrement à cœur, d’inspiration thaïlandaise je préfère l’appeler « pantalon démocratique » car il s’ajuste à toutes les formes de corps…c’est dans une autre couleur que je l’avais expérimenté sur scène il y a 3 ans pour le spectacle de fin d’année de l’école ADAGE à Bordeaux. Ce matin, j’ai donc une pensée pour Sandra, qui était mon professeur à l’époque, et pour la « revolution team »… les souvenirs de scènes se mélangent, du vert hideux de l’hippocampe de mes 7 ans au blanc que Nathalie avait choisi pour « twist in my sobriety », de l’odeur entêtante des colliers de tiaré aux fous rires dans les coulisses de l’IDDAC…et malgré les pertes d’équilibre ou de mémoire, je retourne défier le trac !

    Bande son : My Forest –B612 PROD 06-

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  • Dès ma première participation aux « samedis de danse(r) », j’ai été enthousiasmée par la façon de travailler de Christian Bourigault et les échanges que je peux avoir avec les autres danseurs du groupes me montrent qu’il fait l’unanimité.

     

    Ce samedi était un peu particulier,

     

    Pour commencer, nous étions conviés à mettre nos regards à contribution pour la création de « Duelles »,

     

    C’était aussi le dernier atelier de la saison, l’occasion d’un bilan, et j’ai repensé à ce que Nathalie Schulmann m’a dit de l’évolution qu’elle a pu repérer entre les deux sessions de « corps, mouvement, danse ».

     

    Je ne remercierais jamais assez Sylvie de m’avoir invitée à rejoindre ce groupe. Sylvie travaille avec moi à l’Elan, elle connaît et partage mon intérêt pour la danse… et naturellement, elle fait partie des personnes auxquelles je pense quand j’aborde la question d’un co-thérapeute dans mes projets pour les patients de l’hôpital de jour.

     

     

    Bande son: Apocalyptica - Nothing Else Matters –

     


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  • Parmi les problématiques que je croise depuis mon entrée à l’INECAT, la question de ma PLACE se pose fréquemment… comme elle survient sans doute dès que l’on s’engage dans un changement de fonction.

     

    Tant que je suis en formation, je suis infirmière et pas encore art-thérapeute, mon bulletin de salaire me le dit, les attentes de mes collègues aussi !

     

    Les choses se compliquent un peu quand je deviens la stagiaire de Corine en théâtre, quand je m’investis dans le partenariat entre l’Elan et Paco Dècina ou quand il est l’heure de quitter l’hôpital pour me rendre à l’atelier de Soizic…

     

    Aujourd’hui, l’apprentie danse-thérapeute s’est encore effacée devant les obligations de l’infirmière… j’ai choisi de rester auprès des patients, une part de moi en a été frustrée… l’autre l’aurait été tout autant  si j’avais pris la décision d’aller à Versailles…

     

    Ne pouvant me dédoubler, j’accepte l’entre-deux…parfois inconfortable, mais générateur de mouvements… La marche n’est qu’une succession de déséquilibres !

     

    Bande son : The Married Monk – Rocky-

     


    2 commentaires
  • Andersen, Klein, Giacometti…

    Le vilain petit canard, les anthropométries, l’homme qui marche ou la femme debout…sont aussi mes compagnons de route…

    Bande son: OST Eternal Sunshine of the spotless mind

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  •  

    J’ai trouvé dans un article du monde une description si proche de celle que j’aurais pu faire de la création de Paco Dècina que je ne prends pas le risque de la paraphraser maladroitement.

    Deux semaines après le spectacle, les images des formes composées par ce duo me reviennent et je me plonge dans une lecture croisée entre les principes de l’art-thérapie et le discours du chorégraphe…

     

    A suivre : le CND annonce  « disperse » d’Alban Richard (ensemble L’abrupt) au Théâtre de la Cité Internationale du jeudi 12 au mardi 17 octobre 2006 à 20h30 (relâche dimanche 15) et Nathalie Schulmann a parlé d’une conférence le 14…

    Bande son: Dyonisos – Monsters in love –

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