• Un violoncelle, un accordéon, un livre...
    Une femme, un homme, une fillette...
    Un tableau musical a croisé mon chemin  tandis que je me promenais au bord de la seine hier soir, je me suis arrêtée pour regarder, pour écouter, rêver un peu et capturer une image, carte postale poétique.
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    Aujourd'hui, un mail m'annonce les stages à venir de la compagnie "à fleur de peau", l'un d'eux propose un travail autours du rêve...comment la réalité pourrait-elle me permette de participer à cette aventure?



    Ce soir le ballet indien programmé par ARTE n'a pas retenu mon attention... il y avait bien l'observation des gestes des artisans du tissu, mais la danse en elle-même ne m'a pas touchée.. ou peut-être était-ce le fait de devoir rester assise face à la petite lucarne ?



     

    <o:p> </o:p>Bande son : DJ Shadow -Endtroducing-

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  • Je prolonge les émotions de lundi soir en écoutant et réécoutant le dernier album de Philippe Katerine, ce bain sonore convoque des images, des sensations... L'air était léger dans le jardin des Tuileries, sur scène les interprètes étaient émouvants...un chanteur qui danse, des danseurs qui chantent... ensemble dans un monde qui n'est peut-être pas aussi improbable qu'il voudrait le faire croire. Est-ce un rêve ? Une prémonition ?
    J'ai beaucoup ri en découvrant les multiples interprétations de ces textes que je connaissais mais j'ai surtout été touchée par l'unisson dansé sur le titre « 78-2008 », le moment que mes yeux ont préféré... la qualité des mouvements était si juste que j'ai bien cru qu'ils allaient tous s'envoler...simplement beau, humain avant tout !




    Je pensais que quelque chose de ce spectacle inspirerait la préparation de l'atelier danse mais c'est à partir des observations des premières séances que j'ai trouvé un « fil ». Comme je n'ai pas de cothérapeute pour l'instant, j'essaie de partager mes questions avec Corine ou tout autre personne de l'institution qui se montre intéressée par cette expérience... à plusieurs reprises, j'ai évoqué le fait que j'étais interpellée par la façon de marcher des participants, j'y ai donc consacré cette troisième séance.
    Malgré le guide que constitue mon « squelette d'atelier », je ne suis pas très satisfaite de la proposition que je leur ai présentée, en particulier de l'exercice intermédiaire. Or je pense que ce « trait d'union » est le moment le plus important d'une séance, c'est aussi le plus délicat... et certainement le plus difficile à élaborer puisque son but est de faire glisser subtilement les participants de la préparation corporelle au  travail artistique.


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    Bande son : Katerine –Robots après tout-

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  • « Vallée 2008 » était présentée au Centre Pompidou en mai dernier, je suis arrivée trop tard pour les réservations... depuis j'attendais... ce soir, enfin, je vais pouvoir découvrir le fruit de la collaboration entre Mathilde Monnier (dont le « bruit blanc » m'inspira le plus grand respect) et Philippe Katerine.
    Depuis que j'ai découvert « 2 iris » et assisté à « F et Stein », la rencontre scénique entre musiciens et danseurs m'interpelle particulièrement... et ce n'est pas un hasard si, pour la rentrée, je n'envisage pas de poursuivre la danse africaine ailleurs que dans un cours avec des percussionnistes.
    Ma vie personnelle a certainement à voir avec cet intérêt, est-ce une raison pour le censurer ?


    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p><o:p></o:p> Bande son : Joy Division - Closer


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  • La vie quotidienne est parfois une source d'inspiration surprenante !<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />La chaleur qui règne sur la ville m'a guidée jusqu'à la piscine en quittant l'hôpital. En nageant, je me demandais comment j'allais pouvoir adapter la seconde séance de l'atelier danse à ces conditions climatiques... la réponse m'entourait ! Mon fil directeur sera l'eau ! Le quotidien me donne aussi quelques idées d'exercices et c'est sous la douche que j'ai trouvé une contrainte corporelle originale que je testerai dès demain !<o:p> </o:p>Bande son : OUMUPO 3 – Rubin Steiner-

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  • Parce que les contes m'ont toujours fascinée,
    Parce que la question de la féminité m'interpelle régulièrement... je parcourre depuis quelques jours le chemin que propose Clarissa Pinkola Estés dans « Femmes qui courent avec les loups ».
    Quand j'étais petite, j'avais peur des loups... ou plutôt de la représentation que je m'en étais fait à partir des histoires que j'écoutais, étrangement les images des livres n'avaient aucune influence sur mon imaginaire. Jamais mes loups n'avaient l'apparence de chiens sauvages, ils ressemblaient à d'immenses gorilles... aussi hauts que les poteaux électriques qui envahissaient le paysage dans lequel j'évoluais.
    C'est au hasard d'une conversation que la féminité s'est invitée dans mes pistes de réflexion sur l'art thérapie, je racontais à Christiane Chiche la trop courte aventure des « vilains petits canards ». C'est en évoquant les directions que chacune des participantes avaient pris par la suite que j'ai réalisé que « quelque chose » s'était effectivement peut-être passé pour nous toutes, au-delà du simple partage du plaisir de danser.
    Je conserve précieusement les quelques traces de ce projet, des écrits définissant l'association aux images de nos modestes compositions, comme des graines précieuses qui n'attendent que de rencontrer le terrain favorable à leur épanouissement.


    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>
    « Spéciale dédicace » à Julie, Sandy, Mireille et Marina : GORILLAZ – 19-2000

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